La consommation d’alcool, principalement sous forme de vin rouge et en accompagnement des repas, constitue un élément clé du régime méditerranéen grec. Dans la tradition grecque, le vin est bien plus qu’une boisson ; il est un symbole d’hospitalité, de connexion sociale et de patrimoine culturel. On le retrouve lors de diverses manifestations sociales et familiales, ainsi que dans la tradition chrétienne orthodoxe à travers la Sainte Communion.
Cette tradition de la consommation de vin comme partie d’un repas équilibré est également reflétée dans la Pyramide du régime méditerranéenne. En particulier, selon la nouvelle Pyramide du régime méditerranéen, mis à jour en 2010 par la Fondation internationale pour le régime méditerranéen, la consommation de vin (et d’autres boissons alcoolisées fermentées, telle la bière) est recommandée quoique facultative, avec modération et de préférence en accompagnement des repas.
Une consommation faible à modérée de vin, en particulier de vin rouge, a été associée à certains bénéfices potentiels pour notre santé. Les bénéfices potentiels d’une consommation faible, voire modérée de vin peuvent, en partie, être liés aux propriétés protectrices de certains composés bioactifs (polyphénols) qu’il contient. Les polyphénols (par exemple, le resvératrol) sont de puissants antioxydants dont capacité à réduire le risque de maladies cardiovasculaires et de cancer ont fait l’objet d’études. Pour autant, les scientifiques soulignent qu’il est nécessaire de mener de plus amples recherches pour comprendre pleinement les effets du vin.
Par ailleurs, les données scientifiques actuelles ont montré qu’il est impossible de définir des niveaux sûrs de consommation d’alcool. Même une consommation modérée d’alcool (moins de huit verres par semaine) a été associée dans certaines études à un risque accru de maladies chroniques, telles que les maladies cardiovasculaires et le cancer. La consommation d’alcool est également déconseillée chez certains groupes de la population, tels que les enfants et les femmes enceintes ou allaitantes.
Ainsi, si vous choisissez de consommer de l’alcool, veillez à le faire avec modération. Une consommation contrôlée et raisonnable est essentielle pour limiter les risques. Une consommation modérée d’alcool est définie comme s’élevant jusqu’à deux verres (deux ou moins) par jour pour les hommes et jusqu’à un verre (un ou moins) par jour pour les femmes. Un verre d’alcool correspond à 45 ml de spiritueux fort tels que la vodka, le whisky, le gin (40% d’alcool), 120 ml de vin (12% d’alcool) ou 330 ml de bière (5% d’alcool).
En conclusion, il est important de souligner que les données scientifiques avertissent des risques liés à la consommation d’alcool, en particulier lorsqu’elle est excessive. Ainsi, bien que le vin fasse partie de la tradition des pays méditerranéens, y compris de la Grèce, sa consommation doit être modérée, toujours dans le cadre d’une alimentation globalement saine.La consommation d’alcool, principalement sous forme de vin rouge et en accompagnement des repas, constitue un élément clé du régime méditerranéen grec. Dans la tradition grecque, le vin est bien plus qu’une boisson ; il est un symbole d’hospitalité, de connexion sociale et de patrimoine culturel. On le retrouve lors de diverses manifestations sociales et familiales, ainsi que dans la tradition chrétienne orthodoxe à travers la Sainte Communion.
Cette tradition de la consommation de vin comme partie d’un repas équilibré est également reflétée dans la Pyramide du régime méditerranéenne. En particulier, selon la nouvelle Pyramide du régime méditerranéen, mis à jour en 2010 par la Fondation internationale pour le régime méditerranéen, la consommation de vin (et d’autres boissons alcoolisées fermentées, telle la bière) est recommandée quoique facultative, avec modération et de préférence en accompagnement des repas.
Une consommation faible à modérée de vin, en particulier de vin rouge, a été associée à certains bénéfices potentiels pour notre santé. Les bénéfices potentiels d’une consommation faible, voire modérée de vin peuvent, en partie, être liés aux propriétés protectrices de certains composés bioactifs (polyphénols) qu’il contient. Les polyphénols (par exemple, le resvératrol) sont de puissants antioxydants dont capacité à réduire le risque de maladies cardiovasculaires et de cancer ont fait l’objet d’études. Pour autant, les scientifiques soulignent qu’il est nécessaire de mener de plus amples recherches pour comprendre pleinement les effets du vin.
Par ailleurs, les données scientifiques actuelles ont montré qu’il est impossible de définir des niveaux sûrs de consommation d’alcool. Même une consommation modérée d’alcool (moins de huit verres par semaine) a été associée dans certaines études à un risque accru de maladies chroniques, telles que les maladies cardiovasculaires et le cancer. La consommation d’alcool est également déconseillée chez certains groupes de la population, tels que les enfants et les femmes enceintes ou allaitantes.
Ainsi, si vous choisissez de consommer de l’alcool, veillez à le faire avec modération. Une consommation contrôlée et raisonnable est essentielle pour limiter les risques. Une consommation modérée d’alcool est définie comme s’élevant jusqu’à deux verres (deux ou moins) par jour pour les hommes et jusqu’à un verre (un ou moins) par jour pour les femmes. Un verre d’alcool correspond à 45 ml de spiritueux fort tels que la vodka, le whisky, le gin (40% d’alcool), 120 ml de vin (12% d’alcool) ou 330 ml de bière (5% d’alcool).
En conclusion, il est important de souligner que les données scientifiques avertissent des risques liés à la consommation d’alcool, en particulier lorsqu’elle est excessive. Ainsi, bien que le vin fasse partie de la tradition des pays méditerranéens, y compris de la Grèce, sa consommation doit être modérée, toujours dans le cadre d’une alimentation globalement saine.